Présentations
Née en Provence, la conserverie AU BEC FIN est une marque premium avec un fort enracinement local, porté par une passion pour la gastronomie de sa région.
Les différents produits de la gamme (conserves, semi-conserves, soupes et tartinables) sont élaborés à Cogolin, dans un laboratoire de 1400 m2, où les matières premières sont épluchées, nettoyées et préparées sans conservateurs. Transmises par les anciens, les recettes s’inspirent de la tradition provençale, avec quelques secrets de fabrication précieusement gardés.
AU BEC FIN travaille en étroite collaboration avec des pêcheurs et des producteurs locaux, jusqu’à leur fabriquer des produits à leurs propres marques, comme de la soupe de daurade, des bocaux de thon et des filets d’espadon à l’huile d’olive.
Ces contrats signés à 15 kilomètres à la ronde avec plus de 25 pêcheurs du Golfe de Saint Tropez, dont des groupements comme celui de Porquerolles et de la Presqu’île D’Hyères, leur garantissent l’achat de leur pêche toute l’année, à des prix rémunérateurs.
Pour mettre en valeur ses matières premières, AU BEC FIN s’est créé un véritable écosystème autour de son lieu de production, en signant des contrats de cultures avec des paysans pour le basilic, le butternut et plus récemment le miel.
Enfin, la conserverie peut compter sur son réseau de distribution historique, ainsi que sa boutique et son e-commerce pour satisfaire ses clients, tant particuliers que professionnels, en quête de produits français, Bio et labellisés.
Fiche d’identité
Projection CA 2021 : 5 € M millions
Directeur général : Olivier Manière
Gamme de produits :
- conserves
- produits frais
- soupes
- tartinables
Distribution :
- GMS
- E-commerce
- Boutique
Localisation :
CONSERVERIE AU BEC FIN
50 Avenue de Valensole – RD 98, 83311 Cogolin
Tel : 04 94 55 74 44
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L’histoire de la conserverie du BEC FIN
Créée en 1991 dans le Golfe de Saint Tropez, la conserverie AU BEC FIN revendique très rapidement son statut d’artisan des saveurs.
En 2011, Patrice Jacquelin fait son entrée au capital. Et 9 ans plus tard, il n’a pas oublié ses premiers pas dans l’entreprise : “2011, c’était ma première entrée significative. Je suis ensuite devenu majoritaire avant de finalement racheter la totalité des parts en 2015. Je tiens à souligner le travail de Marie Franqueza et Michel Dallari. Sans ces deux fondateurs passionnés, rien n’aurait été possible.”
En 2019, la société a augmenté sa capacité de production (+30% sur le site de Cogolin) et a gagné +20% de productivité.
Peu de temps après, AU BEC FIN rejoignait FRENCH GOURMET FOOD.
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Les 4 apports de FGF à la conserverie AU BEC FIN
Avec FRENCH GOURMET FOOD, la conserverie AU BEC FIN a poursuivi sa réorganisation afin d’augmenter significativement sa rentabilité :
Gain n°1 : la mutualisation des compétences
Olivier Manière, dirigeant opérationnel de la conserverie AU BEC FIN, présent au quotidien sur le terrain, voit cette intégration à FGF comme un atout supplémentaire : “un chef d’entreprise est souvent quelqu’un de seul, la tête dans le guidon. FGF permet de mettre nos problématiques en commun pour trouver des solutions plus rapidement. Surtout, on va pouvoir se compléter… et réellement travailler ensemble. Il n’y a que du positif.”
Échange de bons procédés avec…
Olivier a pu bénéficier de l’accompagnement de Patrice Jacquelin, président de FGF, notamment de ses connaissances en digitalisation.
“Il n’était pas question de bouleverser le système établi : ni pour les équipes, ni pour les collaborateurs. Ce que l’on cherche simplement avec FRENCH GOURMET FOOD, c’est de mettre nos compétences en commun pour se développer”, nous explique Patrice Jacquelin.
Gain n° 2 : le recentrage de la gamme
Historiquement, 40% de notre activité était liée à la marque Le Temps des Mets, dont la gestion a été cédée par la suite à SAVOR & SENS pour ne garder que la partie conserverie qui se trouve aujourd’hui à Cogolin.
Échange de bons procédés avec…
Grâce à FGF, Olivier a pu bénéficier des compétences d’Alain Léon, président du groupe SAVOR CRÉATIONS, notamment celles en marketing et en développement de produits.
Gain N° 3 : une meilleure visibilité de la marque
Depuis toujours, la volonté est d’accroître la notoriété de la conserverie. “Depuis, je fais tout pour conserver l’image de marque du Bec Fin. Et je pense que l’on y arrive plutôt pas mal”, nous précise Patrice Jacquelin.
Les actions de French Gourmet Food nous permettent de rendre la marque encore plus attractive notamment en la rendant plus visible, sur les salons et autres événements ainsi que les sites internet du groupe.
Gain N° 4 : la mise en place d’un ERP pour une meilleure gestion
FRENCH GOURMET FOOD permet également d’optimiser la gestion de l’activité d’une PME dans le secteur de l’agroalimentaire, notamment avec la mise en place d’un ERP.
Échange de bons procédés avec…
Grâce à FGF, Olivier Manière a pu bénéficier de l’expérience industrielle de Charles-Henri Beaudoin, directeur FGF.
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Les 5 apports de la conserverie AU BEC FIN à FGF
Entrepreneurs dans le secteur de l’agroalimentaire, ne restez pas seuls ! Olivier Manière, directeur opérationnel de la conserverie AU BEC FIN, peut vous apporter :
Apports de compétences
- ses compétences financières, en tant qu’ancien banquier d’affaires.
- ses compétences techniques, avec son expertise de la conserve, des produits pour SAvor et Sens
- son expertise de 15 ans sur le secteur de la grande distribution, avec des enseignes comme Leclerc, Carrefour, etc.
Apports de moyens
- la boutique de Cogolin
- le site e-commerce
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Les nouveaux objectifs, à 3 ans
FRENCH GOURMET FOOD permet aux PME de l’agroalimentaire de se fixer des objectifs, jusque-là non réalisables seuls.
Objectif n°1 : Augmentation de la distribution Bio pour les GMS
En 2019, la production Bio de la conserverie ne représentait que 15%. “Sous 3 ans, grâce à la mutualisation des compétences via FGF et notre réseau historique en grande distribution (90 % du chiffre d’affaires annuel), nous voulons tendre vers les 50% de production Bio”, précise Olivier Manière.
Échange de bons procédés avec…
Grâce à FGF, Olivier partage l’expérience et la connaissance de Pascal Lepoutre, gérant de LES 4 SAISONS, qui dispose d’une réelle expertise des réseaux Bio.
Objectif n°2 : visez la vente internationale
Patrice Jacquelin explique comment atteindre cet objectif :
“Dès que nous serons prêts, nous allons axer une partie du développement vers l’export. C’est quelque chose qui me paraît essentiel. Les produits sont représentatifs du Sud de la France et c’est une région qui plaît dans le monde entier. Je suis donc persuadé que notre fenêtre d’export est très très large. Ce qu’on veut avant tout, c’est continuer ce travail de qualité… mais à plus grande échelle !”
Objectif n° 3 : la consolidation de l’activité agricole
Auparavant actionnaire, Olivier Manière a signé le rachat en avril 2021 d’une activité d’apiculture qui gère près de 1300 ruches Bio et IGP Provence (Indication géographique protégée), dotées par ailleurs du Label Rouge : une vraie opportunité pour développer la gamme de produits autour du miel.
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